Tuesday 4 September 2012

Triste visite

CMC des Petites Roches, St Hilaire du Touvet
A couple of weeks ago I showed you a pretty image of broken glass (see it here), mentioning the location,  an abandoned hospital. Let me show take you back there. I had the opportunity to follow architect friend Michel Grillet inside this beautiful building on which he worked extensively for many years. The medical centre located on the mountainside above Grenoble originally opened as a sanatorium in 1933. When the number of tuberculosis cases dwindled down it was turned to a regional hospital with beautiful views to the Alps across the valley. Closed in 2009 on the basis of regional reorganisation of hospital services, the beautiful historical building was left to fend for itself against trashing and ransacking. Today it looks like it's gone through a war. Walking through the devastated place in the company of someone who had such close emotional ties with the place was a sad moment indeed. My friend walked me through the building, showing me the grand 1940 staircase (dismantled), the bathrooms whose wash basins he'd carefully designed to suit the needs of disabled patients (all smashed to pieces), the surgery rooms (or memories thereof), the ceilings, doors, elevators and windows (smashed, crashed, torn and covered in graffiti), the roof tiles (broken, stolen), the chapel (open to the winds). No place was left undamaged. The place is now a huge paintball playground - can you imagine the fun? For Michel, it was a tearful experience.
Suite à mon premier billet sur le sujet (voir ici) je vous remmène au centre médical de St Hilaire du Touvet, fermé en 2009 et laissé aux vandales depuis. J'ai suivi mon ami architecte Michel Grillet dans cette visite extrêmement dure pour lui. Je vous invite à lire son récit dans les commentaires, c'est émouvant. Il semble impensable que les autorités administratives aient fermé ce lieu sans aucun souci de son avenir. Ces bâtiments historiques sont devenus un terrain d'aventure pour des équipes de paintball. Pour eux, un super terrain de jeu. Pour ceux qui y ont travaillé et ont aimé ces lieux, c'est un crève-coeur.
Dans une salle de soins, la marque de deux mains avec ces quelques mots :  "Ha, ! Ici ces mains, elles ont massé, massé, tâté... 1989-- 2009. Brigitte". Vingt ans d'une vie...
In the physiotherapy room, two hands with a hand-written note : "Ha ! The number of massages that these hands have performed here ! 1989 - 2009... Brigitte". Twenty years of someone's life...
 Le grand escalier du hall d'entrée, disparu : il n'en reste que le squelette. Les tuiles du toit, arrachées.
Les cages d'ascenseurs ne sont plus que verre brisé. La peinture part en lambeaux.

Faux-plafonds arrachés, cloisons parfois cassés à la masse, murs tagués, mobilier vandalisé.
Un médecin de la région s'est vanté auprès de ses patients que son bureau avait été 'récupéré' ici. Vive le mobilier gratuit.
As an architect, Michel had always felt ultimate respect for this grand old building . Whenever he was working on renovating or refurbishing it, he felt it he owed it to his predecessors to do things right and respect their work. There are currently no plans for these historic buildings, demolition or otherwise. They're just left to rot.
L'extérieur n'est plus que verre brisé et graffitis. En tant qu'architecte, Michel a toujours eu le plus grand respect pour ces chalets historiques. Quand il travaillait à leur rénovation ou leur aménagement, il avait toujours à coeur d'être à la hauteur de l'oeuvre de ses prédécesseurs. Aujourd'hui il n'y a aucun plan pour ces bâtiments : ni transformation, ni démolition. Juste un terrible et coupable abandon.

40 comments:

Tamera said...

Only three years, and it's completely destroyed! I don't understand why in Europe especially, abandoned buildings are subject to such vicious vandalism. It seems to happen immediately and extensively. The grafittos are especially obnoxious. Sad indeed.

Michel Grillet said...

Anonymous Michel Grillet said...

Je suis le dernier architecte à avoir travaillé au CMC de St Hilaire du Touvet. J’ai quitté la région grenobloise en 2008 et n’étais pas remonté depuis.

J'ai pleuré en visitant ce qu'il en reste au début de cet été 2012. En état de sidération, à tomber dans les escaliers.

Qui a pu laisser faire ça ? Quel bombardement a pu à ce point défaire ce que plusieurs générations d’homme ont construit, agrandi, transformé, entretenu ?

J'ai toujours exercé mon métier d'architecte en sachant que tout le travail accompli serait un jour en ruine mais je ne pensais pas que de mon vivant je verrais les ruines de mon travail !
Là, j’ai eu le temps de voir ça.

Des heures de ma vie, j’en ai dépensé pour ce bâtiment. Du cœur à l’ouvrage j’en ai mis ! De la fierté du travail accompli, j’en avais quand je parcourais avec le dernier directeur ces grands couloirs si bien proportionnés et si compliqués à désenfumer !

Qui a pu laisser faire ça, que je leur fasse honte à chialer devant eux !

En dix ans nous avons refait plusieurs des unités dont la cardio-vasculaire et le plateau technique, ainsi que toute la mise en sécurité incendie dont toute la conception du désenfumage.
Dans les salles de bains il y avait des vasques en résine que nous avions dessinées au millimètre pour le confort des patients en associant une ergothérapeute du CMC : je les ai retrouvées éclatées, les vandales s’étaient fait plaisir à les briser les unes après les autres.

Quand je dis nous, ce n'est pas seulement mon agence, c’est aussi les ouvriers de toutes les entreprises, tous les ingénieurs associés et tout le personnel du CMC, et en particulier le dernier directeur qui avait su créer autour de lui un climat de confiance et d'énergie créatrice qui a fait que nous avons donné pendant plusieurs années le meilleur de nous-mêmes à ce bâtiment qui le méritait.

C’était tellement enrichissant d’être ainsi associés à l’histoire de tous ces pionniers, constructeurs de funiculaire, maçons montagnards, architectes visionnaires et médecins de sanatorium. D’être à un moment porteur de la responsabilité de transmettre aux générations suivantes ce que tous ces hommes du début du siècle avaient créé de si magique là-haut.

J'ai toujours pensé qu'un bâtiment avait une sorte de mémoire, qu’il disait des choses à ceux qui savaient l'écouter. Le CMC était un géant magnifique qui m'a appris l'humilité et qui m'a fait admirer le travail de mes prédécesseurs Je le respectais énormément. J'ai souvent eu peur de faire une erreur quand je travaillais là-haut et que nous le percions dans tous les sens pour le mettre aux normes ou réhabiliter des unités.

En ce début d été 2012, les pierres de là-haut m'ont dit leur incompréhension devant la folie des hommes, devant tant de gaspillage et de mépris pour le travail.

J'ai honte pour ceux qui ont laissé faire ça. Vraiment.

biebkriebels said...

Sometimes it is better not to go back. It must be so sad to see your work is left for destruction.
What a waste.

Nathalie said...

@ biebkriebels: "sometimes it is better not to go back" yes that's probably true. But after Michel heard from friends about the destruction he felt compelled to go back. He says it would have been worse to be left with hearsays rather than seeing it for himself.

chri said...

Quelle misère!
Compassion avec la détresse de ton ton ami.

Et il y a une pénurie grave de logements dans notre si riche pays...

Thierry Collart said...

Chri m'a précédé... J'ai honte que notre société laisse des bâtiments à l'abandon alors que dans le même temps, des gens sont à la rue, d'autres sont logés dans des taudis insalubres...

Lors du précédent billet de Nathalie sur le sujet, j'avais émis mon opinion quant à l'esprit de destruction de notre monde, je ne peux que je réitérer avec conviction.
Les ruines, c'est pour des vestiges d'autres civilisations, mais ici, c'est notre civilisation, notre époque et c'est un peu de l'homme et de son âme qui part en ruine avec ce bâtiment et hélas bien d'autres...

Sincèrement désolé pour vous Monsieur Grillet. J'ai connu un sentiment similaire au vôtre lorsque j'ai constaté ce qu'était devenu mon jardin avec les nouveaux propriétaires de la maison que nous possédions, ma femme et moi, en Belgique... J'y avais passé des jours entiers durant des années et mis beaucoup de moi-même.

Thierry.

Fardoise said...

C'est la dernière photo qui nous aide vraiment à comprendre ce qu'était ce centre. Les autres nous parlent d'un lieu ravagé comme si une bombe y avait explosé s'il avait été dans l’œil d'un cyclone. L'homme actuel, je ne veux pas écrire moderne, n'a plus de mémoire, ce n'est pourtant pas faute de rappeler que sans mémoire on ne peut construire un avenir fiable. Moi, ces photos me font penser au sac du musée de Bagdad.

Tilia said...

On ne peut être que profondément atterré à la vue d'un tel saccage.
La réflexion vient ensuite.
On aimerait savoir la raison de la fermeture de ce centre médical.
Dans le contexte actuel, on peut l'imaginer.
On peut aussi imaginer que des casseurs mandatés par l'organisme propriétaire sont venus là dans un but bien défini : empêcher toute utilisation des lieux pas des squatters.
Quoi qu'il en soit, c'est ignoble !

Nathalie said...

Tilia, la restructuration hospitalière engagée ces dernières années a généré de nombreuses fermetures d'hopitaux dans presque toutes les régions de France. La plupart ont été transformés en maisons de long séjour, maisons de retraite ou autres. Ce qui choque ici, c'est l'abandon total.

Une des raisons invoquées pour la fermeture de ce centre est le risque d'avalanche. De fait, en 1970 une avalanche est arrivée jusque dans le hall d'entrée. Plusieurs autres avalanches ont eu lieu en janvier 1981 mais aussi en 1968 et 1978. Voir des photos ici :
http://f.couillet.consultant.pagespro-orange.fr/chartreuse.htm (cliquer sur "photos diverses" dans le menu de gauche, vous verrez surtout de nombreux clichés d'avalanches du 18 janvier 1981).

On aurait toutefois pu envisager des paravalanches comme on sait très bien les faire aujourd'hui. Certains avancent donc que l'argument du risque d'avalanche est très spécieux.

Nathalie said...

Des détails sur les avalanches
recensées sur le site :

- en 1968 (route coupée)

- le 18 janvier 1981 : cette fois-là l’avalanche a ouvert la forêt et impacté violement les bâtiments du CMC et CMUD ; le front du dépôt, qui a coupé la route en 3 points, a atteint 220 m de large.

- le 5 mars 1970 dans le site juste au nord (n°4 CLPA – cabane du berger), une avalanche a atteint l’ensemble de la façade ouest du CMC, et projeté des voitures stationnées contre la façade et dans le hall d’entrée, le dépôt atteignant les chambres situées au troisième étage.

- Le 2 février 1978, la branche sud de l’avalanche des rochers du Midi (n°5 CLPA) a atteint l’extrémité nord-est du CMC et le parking voisin, et la route d’accès à Rocheplane.

Informations trouvées sur le document ftp://avalanchesftp.grenoble.cemagref.fr/epaclpa/notices_par_massif/chartreuse.pdf

chri said...

L'état du site semble bien être dû à une avalanche de connerie!

jeandler said...

Il n'y a pas de mots suffisamment durs pour ce scandale. Bravo le département du Rhône !

Unknown said...

@Michel Grillet-merci pour ton texte qui est plein de coeur est universel.qui montre l'effort de nos vies dépensé en chaque goutte de sang et gaspillé par la nature -la menace de lavalanche et encore la partie de la nature humaine qui cherche a détruire.
j'imagine en regardant cette photo que la facade etait magnifique un jour.et j'aimerais voir ledifice en ca splendeur comme corps vivante.

oui peut etre ce n'est pas une grande consolation mais l'édifice a eu une courte vie vivante n'est-ce pas.78ans. ici en Canada en ma ville Edmonton la plupart des édifices de la ville ancienne n'existe plus. Je crois que il n'y a pas un edifice de 100 ans.on sait jamais quand la vie sera coupé mais ton edifice a vecu mais je t'embrasse et je peux sentir ton chagrin.
bonne chance.
Madeleine

claude said...

Moi aussi, je dit merci à Michel Grillet pour avoir dit son désarroi, que je comprends for bien. Bien évidemment si les avalanches compromettaient ce bâtiment médical, c'est une autre histoire.
Plutôt que de la laisser à l'abandon et aux vandales et voleurs, n'aurait-il pas mieux valu de le détruire complètement.

Nathalie said...

Claude, il y aurait eu la solution de construire des paravalanches, ça aurait forcément coûté moins cher qu'une démolition complète.

Muriel said...

souhaitons qu'un promoteur un jour s'empare de l'endroit pour le faire revivre...

Anonymous said...

Grand merci à toi Michel pour nous faire comprendre ton désarroi, ta colère, ta tristesse. J'ai travaillé durant 42 ans dans CMSS, qui doit fermer ses portes l'an prochain (pour être délocalisé) j'espère qu'il n'aura pas le même sort.;
Combien je suis triste...et révoltée
"dire que nous allons sur Mars!!!"
Ta presque voisine....
Nine

Bob Crowe said...

Brilliant series of images. If you were a videographer you could make a documentary about the place. The picture that most affects me is the one of the roof - the broken shingles are poetic.

claude said...

Ok mais pourquoi n'avoir pas opté pour les paravalanches. Cela aurait coûté bien sûr, mais aurait surtout évité cette vue si triste sur ce bâtiment abandonné.

Gunn said...

Great documentary, but sad to see....

Unknown said...

What a great decay series!

Owen said...

The Barbarians are everywhere.

Merci Michel pour ton témoignage. Merci Nathalie pour ces photos... et cette histoire déchirante, qui est bien de notre époque.

AL said...

I have some sense of what it is like to return to a place that held such memories only to find total destruction. I re-visited my old infants school many years after I had left...it was a beautiful Victorian convent school and the chapel was stunning. I had such wonderful memories. Alas, it was smashed up and had graffiti everywhere, the homeless had lit fires and left their trash. The final straw was seeing the fabulous stained glass windows in pieces. It was eventually pulled down and turned into a concrete shopping block.

AnneduSud said...

Insensé et tellement triste. Merci Michel pour ton témoignage.

Remyd'Anne said...

C'est un scandale, il n'y a pas d'autre mot que celui là.
Mépris du travail d'autrui, mépris de l'argent public, mépris de ceux qui ont fait de ce lieu ce qu'il a été!!!
Vaut largement une médiation qui espérons le fera réfléchir les instances administratives et politiques quelles qu'elles soient qui nous gouvernent.
Et cette histoire d'avalanche a bon dos. Cherchez à qui le crime profite.

Unknown said...

ah Nathalie, un autre triste voyage j'ai regardé deux films sur you tube sur le CMC A St. Hilaire du Touvet.quel magnifique -géant- comme Michel a dit.ce qui était bien triste en contraste c'était les belles couleurs des salles les couleurs brillant comme le jaune et rose et bleu comme le ciel,et les tuiles a l'intérieur.et quelle merveilleux paysage de montagnes juste dehors.
mais si on enlève le débris ca devrait etre possible de reconstuire quelquechose comme par exemple un chalet pour les touristes-quelquechoses.
comme tes photos merveilleuses montrent il y a beaucoup de beau espace la -on peut imaginer quand le débris est enlevé.ah les grandes fenetre et les salles ensolleillée.
il y a une échine la non. l'édifice est solide comme tes photos montrent.beaucoup de blessure mais le géant est debout.
si c'est assez sauf - tu as dit il y a une facon d'aider avec les avalanche.
alors pourquoi pas?

mais pourquoi faire les tags tout le monde est parti qui va admiré.

madame optimiste pour cette page.

je t'embrasse toi et Michel.
belle journée.

PeterParis said...

Triste, triste, en effet!

(J'ai vu que Owen a commenté. Je me demande s'il ne va pas y aller bientôt. Pour lui, ça doit être un lieu rêvé!)

黄清华 Wong Ching Wah said...

Very interesting indeed !

JoeinVegas said...

Sad that people feel compelled to do that.

Unknown said...

en tout cas(avant de laisser tomber) jespère que un jour le ciel bleu de l'humanité comme c'est vue de Michel en la première photo entre dans une petite section du corps du géant au moins!

merci chère Natahalie pour ton triste mais magnifique rapport.

Thérèse said...

Triste retour... tristes pensées. Bien différent de l'enfant que l'on ne fait pas pour nous mais pour qu'il trouve sa propre voie.
La Nature qui nous offre tout sait parfois reprendre sans se soucier de la mesure temporelle du temps.
Merci pour ce partage.

vincent andre said...

*****bonjour,c'est vincent*****
je connais le cmc pour y avoir ete hospitalise entre 1997et1998 avec 20 fractures.
cet endroit etait extraordinaire,mais,savez vous que sur le meme plateau,cetrouve 3 hopitaux identiques,abandonnes par la france en avril 2009?????.
LE CMC..ROCHEPLANE..ET,LE CMUDD.
300 lits par hopitaux fermes tour a tour avec leurs materiels,lits..fauteils.....
depuis,ils ont ete entierement pilles de tout;les tuiles,les poutres,les escaliers...TOUT.
vous en doutez? alors,venez voire au::http://sauver-cmc.fr adherez gratuitement a notre assocation si vous etes sensibilisé par ces drames que vous avez et que vous payez chaque jour de vos deniers.
voyez aussi:http://www.facebook.com/petites.roches.saint.hilaire.l'horreur vous y attend accrochez vous,et,surtout,parlez en autour de vous et,venez nous rejoindre.
MICHEL si vous me lisez,je vous supplie de me contacter venez par pitie nous rejoindre;j'ai besoin de vous.
moi aussi j'ai pleuré,et pleure encore mon CMC.
*****vincent*****

mum said...

et oui quelle tristesse.. j'y ai eu qq'un ma famille en 82 la-haut, fenêtre du bas à gauche pour un long séjour.. j'allais la voir tous les 2 soirs depuis grenoble.. et tout fonctionnait et tout était nickel.. j'y suis retournée il y a 3 ou 4 ans.. ça commençait à sentir le délabrement... une copine avait son atelier de gravure la-haut....puisque tout commençait à se délocaliser...mais c'était encore acceptable.. et puis tout a été transporté en bas et les vandales ont eu le champ libre... quelle tristesse je ne peux que compatir. Où va le monde ?
Tu as bien fait Nathalie de poster ce billet.

Jilly said...

Oh how terribly sad And how poingnant to see the derelict place along with Michel and to read his own words in the commentaries. A beautiful reportage, Nathalie and Michel on what is nowadays called 'progress.' Shutting down the old and beautiful and useful and necessary buildings.

Unknown said...

*****bonjour,c'est vincent*****
le cmc que je pleure comme michel se trouve sur le plateau des petites roches a st hilaire du touvet 38660.
je l'ais connu souffrant de 20 fractures en fin 1997.
depuis,il est tres profondement ancré en moi;et,sans doute,pour toujours.
ce que vous ignorez sans doute,c'est qu'il est accompagné depuis 1933 de 2 autres hopitaux certes,plus petits,mais,dans le meme etat de saccage et de pillage lamentable par les voyoux des alentours,et les recuperateurs qui ont fait fortune en les depouillant de plus de choses que l'ont imagine.
depuis les tuiles jusqu'aux parquets,tout,absolument tout fut volé depuis leurs fermetures en 2009.
les rares choses ou paroies epargnees sont detruites par les voyoux qui en ont fait leurs reperes que les gens honnetes ont tout interet de fuire pour rester vivants.
savez vous que ces 3 hopitaux furent fermes en exellent etat,et avec encore beaucoup de materiels abandonnes par la ss et,par la meme;par la france???.
vous avez payer toutes les infrastuctures que je connais comme ma poche.
et vous continuez a payer pour eux,et pour tout le reste.
michel l'evoque tres bien d'ailleurs,et je pourrais en dire encore pendant des heures.
voulez vous en savoir plus??alors,venez nous rejoindre au..http://sauver-cmc.fr et....http://www.facebook.com/petites.roches.saint.hilaire ...
vous serez horrifié par tout ce que vous decouvrirez;et surtout,parlez en a tout le monde autour de vous.
notre association est gratuite;elle regroupe des gens sensibilises par cette decheance qui,gagne progressivement tout le pays;jusqu'a s'abattre sur vous inneluctablement un jour.
pour moi,c'est deja fait...
si vous connaissez michel,dites lui que je le recherche avec assiduite sans pouvoir le trouver;car,nous avons en commun,de pleurer notre CMC.
*****VENEZ NOUS REJOINDRE VITE VITE *****VINCENT*****

nathalie, avignon said...

Merci à tous pour vos commentaires. Ils nous ont fait chaud aux coeur.

vincent andre said...

pourrais-je ici,enfin,faire figurer un message?????

nathalie, avignon said...

Pardon à Vincent André s'il n'a pas vu ses commentaires publiés immédiatement. Les commentaires écrits plus de 15 jours après la publication d'un billet sont soumis à modération et je n'avais pas vu ces messages en attente. Merci de votre implication dans ce dossier.

Michel GRILLET said...

Bonjour Vincent,

J'ai lu vos commentaires sur le CMC.
Vous pouvez me contacter par mail à l'adresse suivante: michel-grillet @wanadoo.fr.

A Bientot.

Anonymous said...

Voilà, tout à une fin.
Les établissements sont actuellement en train de brûler.
Un incendie s'est déclaré ce soir, mais je ne sais pas encore quelles zones sont concernées...

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