Friday, 30 July 2010

Street portraits

Rue des teinturiers, Avignon
Finishing off my report on the Avignon Theatre Festival, a last batch of street portraits, focusing on Molière's 17th century characters. Face paint or not, that is the question.Bientôt la fin du festival d'Avignon, quelques derniers portraits de rue. Sganarelle ou L'école des maris, Molière reste un grand classique. Maquillage ou non, that is the question.


27 comments:

Michel Benoit said...

Au revoir !
Au revoir !
À l'année prochaine !
(Peut-être...)

Le voisin said...

Mais avec toutes les photos que Nathalie a dû prendre, elle va certainement pouvoir nous prolonger ce festival durant un mois encore, non ?

Brigetoun said...

j'aime beaucoup le maquillage des derniers - je suis coupable, pas essayé de participer un brin à l"effort des dernières troupes aujourd'hui

Stefan Jansson said...

Face paint it is.

amar said...

aloha chère Nathalie, magnifique portraits des personnages de Molière encore.C'est magique de les voir dans vos rues.
C'est un beau Sganarelle et j'adore cet instrument de musique c'est pratique-d'apporter et jouer sans doute.

Oui Molière est immortel peut être je dis cela à cause de ma méditation sur le nom «amar» mais non c'est le rire qui est immortel.

J'ai fini à lire le médecin malgré lui et maintenant eenie meenie minee mo--je regarde dans la boîte de Molière.

Ew une autre photo pour ma collection de Molière je te demande en privée.

Tu es fantastique chère Nathalie. Grand merci et belle journée magique.

La voisine said...

Non Michel, je suis prête à tourner la page moi aussi. Demain encore, tout de même...

amar said...

Je retourne pour regarder Sganarelle, c'est difficile à dire aurevoir à lui.
C'est un chef d'oeuvre Nathalie- tous vos portraits sont des chef- d'oeuvres.

Tilia said...

Le maquillage de scène n'est pas fait pour être vu d'aussi près. Sur la photo du haut, ce n'est pas beau. Sur la photo du bas, un mieux il y a.

Je dirai même mieux : j'aime bien la photo du bas.

Dianne said...

yes I love the face-paint! it adds colour and expression- as in the bottom photo - just gorgeous!
Dianne xx

amar said...

Pour moi tu dis!!!!

MERCI88888888888888888888888888888
8888888888888888888888888888888888

amar said...

ET mon petit Bordas ou je vais coller les images va exploser de fierté.

amar said...

Ah chère Nathalie, all that beautiful creative work while keeping me in heart and mind-what a beautiful gift of friendship that I will always cherish.
HUGS

Owen said...

Salut Nathalie,
Un petit saut pour dire bonjour... ce qui vaut mieux peut-être qu'un petit sot qui dit bonjour...

En esperant que tu vas bien, en ce fin de festival... pas un chouillard triste quand même de voir tous ces personnages plier bagage ?

Bonne fin juillet.... car c'est bientôt août...

Virginia said...

Nathalie,
These are delightful portraits. I love this festival and I love how you capture the very special aspects of it for us.
V

claude said...

Ah Molière ! toujours dans le vent.
C'est plus naturel sans la peinture sur la tronche !

Sharon said...

Beautiful shots.

amar said...

AH NATHALIE CHÈRE- tu me dis que tu ajoute une autre photo la deuxième pour moi!

merci*****************************
8888888888888888888888888888888888

Ils sont chic en leurs costumes du dix septième siècle.Ils sont les transporteurs des rêves.

Ah magnifique pour ma collection de Bordas classique.Ma collection est fière de recevoir cette magnifique photo.

Actuellement cette pièce n'est pas parmi les pièces dans ma boite que j'ai commandé mais je vais commander cette pièce aussitôt que possible aujourd'hui.
Et après que ce chef-d'oeuvre de photo est collé dans mon Bordas fier je vais m'assoir-pas sur un sofa dans mon salon, même si elle est belle. J'ai juste acheté pour 200 dollars cet été -quel vente -un sofa nouveau en cuir d'une couleur de moutarde foncé qui avait- une valeur de plus de 12oo dollars- oui c'est remarquable ce sofa- mais ce n'est pas assez bonne pour lire « Sganarelle» accompagné par les photos de Nathalie.

Alors je vais m'assoir dessous mon arbre préféré par la vallée urbaine.
Seulement ce arbre est digne de m'offrir un endroit pour cette lecture rendu magique par Molière et toi!
*****************************
$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$un million dollars de rêve mais non-l'argent ne peut pas mesurer cette expérience.

MERCI
HUGS

amar said...

YOU SAY YOU ADDED THE SECOND PHOTO FOR ME, ANOTHER MAGNIFICENT ADDITION TO MY LITTLE BORDAS CLASSIC.

THANKYOU ONCE MORE FOR THIS GIFT OF FRIENDSHIP.A DREAM I CAN HOLD ONTO.

ratatouille's archives said...

Nathalie said,"a last batch of street portraits, focusing on Molière's 17th century characters. Face paint or not, that is the question."

Bonjour! Nathalie,
I say "let there be "face" paint" lovely, photographs...Molière's 17th century characters.
Merci, for sharing!
DeeDee ;-D

jeandler said...

Comment résister à tant d'attraits?

Unknown said...

Juste pour rendre à César ce qui appartient à César...
La deuxième photo (costumes beige et blanc) est celle des comédiens de L'AIDAS, qui jouaient La Dispute et L'Ile des Esclaves cet été 2010 en Avignon... Deux pièces de Marivaux, donc pas "17ème siècle" ni "Molière" pour un sou.

Louis XIV said...

Bien qu'entre la fin du XVIIe et le début du XVIIIe, il n'y ait pas loin...

Unknown said...

... Eh oui, seulement quelques décennies, il semblerait. N'empêche que l'on ne peut ignorer la différence esthétique qui marque les quatre-vingt années séparant Sganarelle (1660) de La Dispute (1740)... et si on l'ignore, c'est que l'on a besoin de mieux s'informer. Faire l'amalgame de Molière et de Marivaux, c'est d'une part nier une bonne partie de l'histoire du théâtre français, d'autre part aussi absurde que de mettre dans le même sac un Labiche et Ubu Roi (pas même séparés d'un demi-siècle).
Au-delà de ces protestations esthétiques, mon geste était surtout motivé par la nécessité de faire honneur au travail des comédiens. Ils n'ont pas trimé pendant des mois et dans la chaleur du sud pour être confondus avec le travail des autres.
Cordialement.

Michel Benoit said...

Molière va quand même faire triompher la comédie au XVIIe, face à la tragédie classique, comédie qu'utilisera Marivaux au XVIIIe avec souvent les mêmes mécanismes des rapports maître-valet.
En ce sens, je pense qu'il y a une continuité XVIIe-XVIIIe.

Unknown said...

Une continuité certes... Tout comme il y a une "continuité" entre l'œuvre de Mozart et celle de Wagner ! mais nous prenons la peine de les distinguer, n'est-ce pas? Il y a des ressemblances évidentes, mais n'oblitérons pas pour autant ce qui différencie de manière assez nette Molière et Marivaux. C'est cette différence qui fait la richesse de notre culture ; prenons la peine de la reconnaître. D'ailleurs, si on poursuit votre pensée jusqu'au bout, on peut carrément oublier de mentionner les auteurs et simplement dire qu'il s'agit d'une continuation de la tradition commedia dell'arte et ça suffira...
... Ou pas? En ce qui me concerne, et je ne serai certainement pas la seule théâtrologue à vous l'affirmer, il me semble que chacun de ces auteurs ait un style qui lui soit propre.
Soit.
Tout cela pour demander au blogger de tenir compte de ces infos : AIDAS, pièces de Marivaux (18e s). Je sais que les photos prises au vol en Avignon ne sont pas faciles à identifier, voilà de quoi mieux sous-titrer cette photo.
Cordialement vôtre.

Michel Benoit said...

Mais, Aïdas, je croyais que c'était de Verdi ?

Unknown said...

Ce sont des élèves de l'AIDAS (Académie Internationale des Arts du Spectacle).
http://www.academie-spectacles.com
"Aïda" (sans "s") est un opéra de Verdi.

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